Maÿlis sera Mathilde, dans Demain, peut être… de Pascal Nowacki.
Tous les soirs du 16 au 19 décembre, 20h à Levallois.
– A L’AFFICHE –
Nom : Grandidier
Prénom : Mathilde
Profession : Accordéoniste
Ce qui lui manque le plus :
Sa mère, de qui elle tient sa musique.
Une date à retenir ?
Le 27 janvier 1945
– SUR LES PLANCHES –
Nom : Petit de Bantel
Prénom : Maÿlis
Ce que tu admires dans ton personnage :
Mathilde est une jeune fille très solaire qui, malgré la guerre, la déportation, garde son sourire et sa fraicheur. Peut-être est-ce naïf, certes, mais cet espoir cache un désir féroce de s’en sortir et un refus net de devenir un animal sous l’humiliation et la haine des nazis. Son rire est une arme. Une arme contre l’abandon des autres, l’abandon de l’espoir, de la vie, contre l’abandon d’elle-même.
De Maÿlis à Mathilde…
Mathilde, nouvelle dans l’orchestre, est à la fois timide et spontanée, apeurée et lumineuse. Tous les prétextes sont bons pour essayer de mettre de la vie, des rires dans le baraquement, pour oublier la peur, la souffrance, la mort. C’est cette fraicheur, cette candeur presque enfantine qui est intéressante à jouer. Finalement c’est un personnage très touchant. On a souvent envie de la prendre dans ses bras, de la rassurer, parfois de rire d’elle, mais aussi et surtout de rire avec elle.
Une réplique :
« Ben oui… Imagine, si ça se peut, c’est Adolphe qui vient fêter son anniversaire à Rajsko !!! »